Espace Michel Lizée
Anecdotes
De beaux souvenirs
Plusieurs personnes ont partagé leurs souvenirs, leurs pensées et leurs sentiments à l’égard de Michel. Toutes ces personnes ont un point commun concernant Michel : elles ont été touchées par sa passion et sa créativité, qu’il s’agisse d’amis personnels, de collègues ou de groupes participants au Régime de retraite. Vous pouvez consulter certains de ces messages ci-dessous et partagez les vôtres à l’adresse rrfs-gcf@regimeretraite.ca
Des mots pour Michel Lizée
Un petit mot pour toi, Michel…
Tous, nous incluant, reconnaissent aisément tes valeurs sociales, tes grandes compétences et ton implication et dévouement continus au fil des ans, notamment dans le domaine des régimes de retraite et toujours dans un encadrement de respect des membres et de la dignité humaine. Il y a quinze ans naquit non seulement le RRFS-GCF, mais également notre relation d’affaires qui a vu le jour au même moment. Nous avons donc eu la joie, l’honneur et le privilège de collaborer à la mise en place du Régime avec toi et l’équipe du RRFS-GCF. Il s’agissait alors d’une approche novatrice, dont le cœur reposait sur le respect d’autrui et les valeurs des groupes communautaires. Au-delà de la technique, le défi demeurait donc dans la viabilité du Régime, le respect de ses objectifs et de ses personnes participantes. N’oublions pas que le Régime a vu le jour en une période de crise sans précédent au niveau de l’ensemble des régimes de retraite à prestations déterminées, non seulement au niveau du Québec, mais de façon généralisée au niveau mondial. Nous connaissons maintenant la suite… le contexte économique et financier et les règles législatives applicables ont mené, subséquemment, au déclin régulier et constant des régimes de retraite à prestations déterminées dits « traditionnels ». Un partenariat novateur, flexible et en constante évolution, dans un contexte difficile au niveau économique, financier et politique pourrait définir notre relation, dont tu es un des principaux instigateurs. Nos nombreuses discussions, analyses et échanges ont été, sur le plan professionnel et personnel, une expérience unique que peu de conseillers ont eu ou auront la chance de vivre au cours de leur carrière. Nous te disons merci pour cette passion. Michel, tu as non seulement participé activement à redessiner le portrait des régimes au Québec, mais également celui de croire à l’implication des membres à leur gestion ainsi que le concept de relations d’affaires. 15 ans plus tard, la province compte sept RRFS couvrant un grand nombre de membres dont le RRFS-GCF avec 150 M$ d’actif, plus de 10 000 membres, qui a été un exemple…Quel succès! Tu peux et tu dois en être très fier, pour toujours. Tu as été un des principaux artisans de la croissance de la nouvelle génération de régimes de retraite à prestations déterminées au Québec. Un grand MERCI de notre part et au nom de tous leurs membres.
Tous, nous incluant, reconnaissent aisément tes valeurs sociales, tes grandes compétences et ton implication et dévouement continus au fil des ans, notamment dans le domaine des régimes de retraite et toujours dans un encadrement de respect des membres et de la dignité humaine. Il y a quinze ans naquit non seulement le RRFS-GCF, mais également notre relation d’affaires qui a vu le jour au même moment. Nous avons donc eu la joie, l’honneur et le privilège de collaborer à la mise en place du Régime avec toi et l’équipe du RRFS-GCF. Il s’agissait alors d’une approche novatrice, dont le cœur reposait sur le respect d’autrui et les valeurs des groupes communautaires. Au-delà de la technique, le défi demeurait donc dans la viabilité du Régime, le respect de ses objectifs et de ses personnes participantes. N’oublions pas que le Régime a vu le jour en une période de crise sans précédent au niveau de l’ensemble des régimes de retraite à prestations déterminées, non seulement au niveau du Québec, mais de façon généralisée au niveau mondial. Nous connaissons maintenant la suite… le contexte économique et financier et les règles législatives applicables ont mené, subséquemment, au déclin régulier et constant des régimes de retraite à prestations déterminées dits « traditionnels ». Un partenariat novateur, flexible et en constante évolution, dans un contexte difficile au niveau économique, financier et politique pourrait définir notre relation, dont tu es un des principaux instigateurs. Nos nombreuses discussions, analyses et échanges ont été, sur le plan professionnel et personnel, une expérience unique que peu de conseillers ont eu ou auront la chance de vivre au cours de leur carrière. Nous te disons merci pour cette passion. Michel, tu as non seulement participé activement à redessiner le portrait des régimes au Québec, mais également celui de croire à l’implication des membres à leur gestion ainsi que le concept de relations d’affaires. 15 ans plus tard, la province compte sept RRFS couvrant un grand nombre de membres dont le RRFS-GCF avec 150 M$ d’actif, plus de 10 000 membres, qui a été un exemple…Quel succès! Tu peux et tu dois en être très fier, pour toujours. Tu as été un des principaux artisans de la croissance de la nouvelle génération de régimes de retraite à prestations déterminées au Québec. Un grand MERCI de notre part et au nom de tous leurs membres.
Lysane et Pierre - Toute l’équipe de PBI conseillers en actuariat
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
tempore perfecisse
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
tempore perfecisse
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
tempore perfecisse
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.